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Quelle taille de prothèse mammaire choisir ? Guide complet pour un résultat naturel et harmonieux

Quelle taille de prothèse mammaire choisir ? Guide complet pour un résultat naturel et harmonieux

L’augmentation mammaire par implants est une intervention chirurgicale couramment pratiquée par le Dr Djian à Paris, qui permet de restaurer, embellir ou augmenter le volume de la poitrine. Mais au-delà du geste opératoire, déterminer la taille idéale des prothèses reste l’étape la plus stratégique. Plusieurs facteurs influencent ce choix comme la morphologie, la proportion thoracique, les préférences esthétiques, ou encore l’activité physique. Il ne s’agit pas de viser un chiffre en cc ou une correspondance mathématique avec un bonnet de soutien, mais d’obtenir un résultat final harmonieux et durable. Ce guide complet vous aide à y voir clair, à partir d’exemples concrets, de tableaux explicatifs clairs et d”informations médicales fiables.

L'ESSENTIEL A RETENIR

  • La taille de l’implant mammaire ne se résume pas à un nombre en cc : la forme, la projection, la base thoracique, la souplesse des tissus et le look attendu sont tout aussi importants.
  • La même taille peut produire une différence visuelle considérable selon la morphologie ou le tour de poitrine initial.
  • Une simulation par essayage ou, une grille de correspondance bonnet/volume peuvent aider à déterminer la taille la plus adaptée.
  • Pour un effet naturel et durable, il est souvent préférable d’opter pour une augmentation modérée, un profil moyen ou bas, et qui convient à votre rythme quotidien ou à vos contraintes corporelles.
  • Le Dr Djian, chirurgien esthétique à Paris, privilégie une approche sur mesure et utilise des implants de référence comme Motiva, reconnus pour leur gel de silicone de haute qualité.

MAIS QUE SIGNIFIE LA "TAILLE" D'UNE PROTHÈSE MAMMAIRE AU JUSTE ?

Avant de viser un bonnet C ou une taille importante, il faut comprendre ce que recouvre réellement la notion de taille lorsqu’on parle de prothèse mammaire. Ce n’est ni une simple mesure en cc, ni une équivalence universelle avec le bonnet de soutien. C’est de l’interaction entre plusieurs points anatomiques et techniques.

 

DÉCRYPTAGE DES TERMES TECHNIQUES

 

La taille d’implant mammaire est définie par 4 dimensions principales, qui influencent le rendu final autant que le volume de la prothèse mammaire.

Taille implant mammaire les 4 critères

 

  • Volume (en cc) : exprimé en centimètres cubes, il indique la quantité de gel de silicone ou de sérum physiologique contenue dans la prothèse.
  • Projection (ou profil) : elle indique à quel point la prothèse s’avance vers l’avant. On distingue généralement 4 profils : bas, moyen, modéré et forte projection. Une projection modérée convient à la majorité des patientes qui souhaitent un résultat naturel sans excès.
  • Diamètre (ou base thoracique) : c’est la largeur de la prothèse, mesurée à sa base. Elle doit correspondre à la largeur naturelle de la cage thoracique de la patiente. Si l’implant est trop large, il peut dépasser sur les côtés, provoquer une gêne sous les bras, une apparence peu naturelle (effet “prothèse qui déborde”) et rompre l’équilibre entre le sein et le buste. À l’inverse, un implant trop étroit peut donner un rendu trop resserré ou pointu.
  • Hauteur : concerne principalement les prothèses anatomiques, en forme de goutte. C’est clé pour l’obtention d’un résultat proportionné verticalement.

 

Exemple : deux modèles de 300 cc peuvent avoir un résultat final radicalement différent si l’un est de profil haut (projetant plus) et l’autre modéré (plus discret). Il existe donc une vraie différence de perception, même à volume équivalent.

 

LE VOLUME EN CC CORRESPOND-IL À UNE TAILLE DE BONNET ?

 

Beaucoup pensent qu’un implant de 300 cc correspond systématiquement à un bonnet C, ou que 500 cc permet d’atteindre un bonnet E. Cette équation simpliste est trompeuse. Le volume d’une prothèse mammaire n’est pas un indicateur unique et fiable du résultat attendu.

L’aspect final dépend de plusieurs points qui influencent la perception du volume :

  • Le tour de poitrine et la paroi thoracique : une personne fine avec une petite base thoracique verra un effet plus visible qu’une personne plus grande avec une base large.
  • La glande mammaire de départ : plus elle est développée, plus la différence apportée par le dispositif mammaire sera modérée.
  • Le type de prothèse, sa forme et sa projection : une prothèse mammaire à profil haut ou rond donnera un galbe plus prononcé qu’un profil bas.

Tableau de correspondance estimée entre volume et bonnet en fonction de la morphologie :

Volume (cc) Morphologie fine
(1m50 / 45-50 kg)
Morphologie moyenne
(1m65 / 55-60 kg)
Morphologie large
(>1m75 / >65 kg)
250 Bonnet B Petit B A à B
300 Petit C Bonnet B à C Bonnet B
350 Bonnet C Bonnet C Bonnet B à C
400 Bonnet D Bonnet C à D Bonnet C
500 Bonnet E Bonnet D Bonnet C à D

 

Il s’agit d’une visualisation indicative : les implants visent à modifier la forme, la projection et les proportions du sein, mais le rendu final dépend de plusieurs facteurs comme la morphologie, le type d’implant choisi, sa projection et l’élasticité de la peau.

L’information clé à retenir : c’est l’équilibre global du buste qui prime sur le simple chiffre en centimètres carrés.

 

QUELS SONT LES POINTS À PRENDRE EN COMPTE POUR CHOISIR LA TAILLE ?

 

Le choix d’un implant mammaire ne repose jamais uniquement sur une envie ou une photo avant/après. Il s’agit d’une évaluation multifactorielle, qui combine des éléments médicaux, esthétiques, fonctionnels et personnels. Pour atteindre un résultat harmonieux et éviter une augmentation mammaire ratée, il faut prendre en considération 3 facteurs clés, dès la consultation initiale.

 

FACTEURS ANATOMIQUES

 

Les caractéristiques corporelles de la patiente jouent un rôle déterminant dans le choix des prothèses :

  • Largeur de la base mammaire : Elle doit être en adéquation avec le diamètre de la prothèse pour éviter débordement ou creux visibles. Une correspondance précise est essentielle.
  • Élasticité de la peau : Une peau fine révèle plus facilement les contours de l’implant. Elle offre moins de marge pour une augmentation importante sans risque de plis ou d’inconfort.
  • Tour de thorax : celui-ci influe sur l’impact visuel de l’augmentation. Sur une petite morphologie, un implant modéré semblera plus prononcé, alors qu’il paraîtra plus discret sur un buste large.
  • Qualité des tissus : Une prothèse mammaire à profil haut sur des tissus trop relâchés peut générer une ptôse mammaire secondaire.

À noter : pour les patientes très fines, les implants Motiva Ergonomix sont souvent recommandés. Leur texture douce et leur gel souple conviennent mieux aux peaux délicates.

 

FACTEURS ESTHÉTIQUES ET PERSONNELS

 

L’aspect visuel est souvent lié aux préférences individuelles, à la façon dont la patiente se projette dans sa future silhouette, mais aussi à son environnement social ou professionnel.

  • Rendu souhaité : subtil, naturel, pulpeux, volumineux, sexy… Chaque patiente a un objectif différent. Il est utile de montrer des photos de résultats attendus.
  • Style de vie : Les sportives ou femmes très actives au quotidien doivent privilégier une taille moyenne, adaptée à une activité physique régulière.
  • Proportion avec le reste du corps : L’implant retenu doit respecter l’harmonie visuelle du buste, en lien avec la largeur des épaules, du bassin et du tour de taille.

Exemple : une patiente souhaitant augmenter son tour de poitrine tout en gardant une forme naturelle pourra opter pour un profil moyen, un diamètre adapté à sa base thoracique, et un volume progressif de 280 à 320 cc.

 

FACTEURS CHIRURGICAUX ET MÉDICAUX

 

Le rôle du chirurgien est d’identifier les possibilités réelles en fonction des contraintes techniques :

  • Tension des tissus : Une forte projection sur un buste étroit peut entraîner une coque, des douleurs ou une élongation des tissus.
  • Risque de cancer du sein : L’implant ne provoque pas le cancer, mais il peut en compliquer le dépistage. Certains modèles, comme les macro-texturées, ont été restreints dans l’Union européenne.
  • Antécédents médicaux : Une augmentation après cancer du sein impose des critères stricts : symétrie, type de prothèse, projection intermédiaire, parfois reconstruction associée.
  • Plan de pose (devant ou derrière le muscle) : Il modifie l’apparence de la poitrine, la sensation au toucher, et la durabilité du résultat.

 

MÉTHODES D’AIDE AU CHOIX DE LA TAILLE

 

Avant toute intervention chirurgicale, plusieurs techniques permettent de déterminer la taille idéale des implants et de visualiser le résultat final attendu. Ces outils aident à prendre une décision éclairée, en combinant mesure précise, estimation morphologique et projection réaliste.

 

ESSAIS AVEC PROTHÈSES TEST : UNE SIMULATION ESSENTIELLE

 

Lors de la consultation, le Dr Djian propose un essayage avec prothèses test, insérées dans le soutien-gorge.

Ce processus de simulation permet de :

  • Comparer plusieurs formats pour identifier la différence visuelle entre deux profils (par exemple : bas vs haut).
  • Évaluer l’impact esthétique selon le tour de poitrine et la proportion du buste.
  • Mesurer le niveau de confort ressenti lors du port de vêtements ajustés.
  • Affiner les préférences de forme : anatomique, ronde, etc

Exemple : entre un implant de 295cc profil modéré et un 310cc profil haut, la différence n’est pas toujours visible sur la balance, mais peut l’être dans le look final et l’impression de galbe.

 

UTILISATION DE PHOTOS, TABLEAUX ET OUTILS NUMÉRIQUES

 

Certains cabinets proposent des outils de simulation 3D ou des matrices de correspondance entre :

  • Volume de prothèse mammaire (en cc)
  • Taille du bonnet attendue
  • Type et projection
  • Forme de la poitrine actuelle et souhaitée

Ces éléments permettent une évaluation structurée, notamment lorsqu’il s’agit d’augmenter le volume sans excès, ou de choisir entre plusieurs types d’implants​.

Conseil : il est souvent plus fiable de se baser sur des images avant/après de patientes ayant une morphologie similaire que sur une image “idéale” isolée.

 

ADAPTATION INTRAOPÉRATOIRE : LA DERNIÈRE VÉRIFICATION

 

Lors de l’intervention chirurgicale, le Docteur Djian effectue une adaptation peropératoire. Cela consiste à :

  • Tester plusieurs formats avant la pose finale,
  • Évaluer la tension cutanée et la répartition du volume,
  • Corriger d’éventuelles asymétries.

Cette méthode augmente les chances d’obtenir un résultat optimal, car elle s’appuie sur une évaluation en temps réel de la paroi thoracique, du volume implanté, et du rendu naturel.

 

LA PSYCHOLOGIE DU VOLUME : CE QUE VOTRE CHOIX DIT DE VOUS

 

Le choix d’augmenter sa poitrine par implant mammaire ne repose pas uniquement sur des éléments anatomiques. Il traduit aussi des attentes profondes, une quête d’harmonie personnelle, un désir de satisfaction corporelle et une volonté de s’aligner avec une image de soi souvent longuement construite.

 

L’IMAGE CORPORELLE ET LES INFLUENCES CULTURELLES

 

De nombreuses patientes évoquent des modèles issus des réseaux sociaux, des normes françaises ou européennes de beauté, ou des complexes personnels liés à un petit bonnet, une ptôse mammaire ou une opération ratée suite à un cancer du sein.

Certaines femmes sont fortement influencées par :

  • La valeur symbolique de la poitrine généreuse dans certaines cultures,
  • Une volonté de retrouver une apparence féminine après une maternité ou une maladie,
  • Un effet “lifting” recherché sans vouloir de chirurgie plus invasive.

 

CONFIANCE EN SOI, ACTIVITÉ PHYSIQUE ET PROJECTION PERSONNELLE

 

Les femmes veulent souvent quelque chose de subtil, qui convient à leur mode de vie actif ou à une fonction professionnelle exigeante (ex : sportives, danseuses). D’autres recherchent un changement plus prononcé, en adéquation avec une nouvelle phase de leur parcours personnel (séparation, nouvelle carrière, fin d’un complexe ancien…).

Le choix des implants reflète aussi une intention personnelle : retrouver confiance, se réapproprier son corps ou marquer un tournant dans sa vie. Il ne s’agit pas seulement d’esthétique, mais d’alignement entre image de soi, aspirations profondes et rythme de vie.

 

COMMENT FAIRE UN CHOIX SINCÈRE, ET NON INFLUENCÉ ?

 

Voici des pistes concrètes pour aider à un choix plus aligné :

  • Se poser la bonne question : Est-ce que je veux “atteindre” un idéal, ou “m’épanouir” dans mon corps actuel ?
  • S’appuyer sur des photographies d’anciennes patientes proches de son morphotype, pas des modèles irréalistes.
  • Discuter avec son chirurgien esthétique de la possibilité d’ajustement, de la forme adaptée et du résultat naturel en projection modérée.
  • Recueillir plusieurs avis médicaux si nécessaire, pour confronter les recommandations et affiner sa réflexion.
  • Demander une grille de correspondance ou tester plusieurs dimensions de prothèses lors de l’essayage.

 

LES 10 ERREURS FREQUENTES DANS LE CHOIX DE LA TAILLE DES SES IMPLANTS

 

Retrouvez ci-dessous notre infographie sur les 10 erreurs fréquentes quand il s’agit de choisir la taille de sa future poitrine.

10 erreurs sur taille implants

Les 10 erreurs fréquentes sur le choix de la taille de ses implants mammaires

 

CONCLUSION : CHOISIR LA TAILLE IDÉALE, UNE DÉCISION À DEUX DIMENSIONS

 

Le choix des implants mammaires ne se résume pas à un nombre de centimètres cubes. Il repose sur une vision d’ensemble, qui combine :

  • des paramètres objectifs : largeur du thorax, élasticité cutanée, projection adaptée, glande mammaire existante,
  • des attentes personnelles : effet visuel souhaité, discrétion ou volume assumé, équilibre général du buste.

La bonne dimension est celle qui :

  • respecte la structure de départ,
  • s’ajuste à votre quotidien et à vos habitudes corporelles,
  • s’intègre naturellement à votre silhouette,
  • offre un confort durable, sans compromettre votre mobilité ni votre image de soi.

Une prothèse mal choisie peut entraîner une ptôse prématurée, un inconfort ou un aspect décevant. D’où l’importance de poser les bons choix dès la première consultation.

Le Dr Djian, chirurgien plastique à Paris, s’engage à construire un projet sur mesure. Grâce à son expertise et une écoute fine de vos attentes, il propose un accompagnement fondé sur l’équilibre, la précision et la cohérence entre le corps et l’image que vous avez de vous-même.

Un bon résultat ne se mesure pas qu’en image : il se vit au quotidien, dans la liberté de mouvement, le plaisir de s’habiller, et la justesse ressentie devant le miroir.

 

QUESTIONS FRÉQUENTES SUR LA TAILLE DES PROTHÈSES MAMMAIRES

 

Les questions sur les implants sont parmi les plus fréquentes lors du rendez-vous préopératoire. Certaines relèvent d’inquiétudes pratiques, d’autres de comparaisons sociales, ou de peurs liées au résultat attendu.

 

PEUT-ON PASSER D’UN BONNET A À UN BONNET D DIRECTEMENT?

 

Oui, mais pas sans conditions. Une telle augmentation de bonnet dépend de l’élasticité de la peau, de la souplesse de la glande mammaire. Si la quantité de projection ou la taille de la prothèse est trop importante en une seule fois, un lifting mammaire ou une intervention chirurgicale en deux temps peut être nécessaire.

 

RISQUE-T-ON DE REGRETTER UNE PROTHÈSE TROP PETITE OU TROP VOLUMINEUSE ?

 

Oui, cela arrive souvent, notamment quand la décision a été prise sans recul ou sans aperçu visuel concret.

  • Format trop minimal : impression de “tout ça pour ça”, déception face à un changement jugé insuffisant, envie de refaire une chirurgie pour avoir un effet plus marqué.
  • Format trop imposant : gêne au quotidien, difficulté à s’habiller, physique en décalage avec le mode de vie, notamment en cas d’activité physique intense.

Dans les deux situations, il est essentiel de bien définir ses préférences esthétiques avec le chirurgien, à l’aide d’essais, de comparatifs ou de projections personnalisées.

 

FAUT-IL CHANGER LES PROTHESES TOUS LES 10 ANS ?

 

Non, c’est une idée reçue. Les implants modernes, notamment ceux de la marque Motiva, offrent une longévité bien supérieure aux anciens modèles.

Tant que la prothèse mammaire reste intacte, sans rupture ni complication, et que le résultat vous convient, aucun remplacement n’est obligatoire.

Pour en savoir plus sur la durée de vie des prothèses consultez notre article dédié.

 

EST-IL POSSIBLE D’ALLAITER APRÈS UNE AUGMENTATION MAMMAIRE ?

 

Dans la plupart des cas, oui. Il est toutefois essentiel de :

  • privilégier la voie sous-mammaire,
  • éviter une incision proche de l’aréole,
  • informer son chirurgien si un projet de maternité est envisagé à court terme.

 

QUELLE EST LA TAILLE DE PROTHÈSE LA PLUS COURANTE EN FRANCE ?

 

Les modèles les plus utilisés se situent entre 280 et 350 cc, ce qui correspond généralement à un bonnet B plein ou C, selon la morphologie. Les gros implants sont plus rares et souvent réservés à des demandes très spécifiques.

 

PEUT-ON RETIRER DEFINITIVEMENT SES IMPLANTS MAMMAIRES ?

 

Oui, il est possible de retirer ses prothèses mammaires définitivement lors d’une explantation. Après le retrait, certaines patientes choisissent une reconstruction mammaire (par lipofilling, par exemple), tandis que d’autres préfèrent laisser leurs seins au naturel.

 

COMMENT LA TAILLE DES IMPLANTS MAMMAIRES IMPACTE-T-ELLE LES RESULTATS DES MAMMOGRAPHIES ET AUTRES DEPISTAGES ?

 

Les implants mammaires, surtout de grande taille, peuvent compliquer l’interprétation des mammographies en masquant une partie du tissu mammaire. Il est crucial d’informer le radiologue de la présence des implants afin qu’il utilise des techniques d’imagerie adaptées pour un dépistage efficace.

 

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publié le 19.08.2025 par Dr Djian

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