Au coin de chaque œil, la patte d’oie s’installe discrètement, comme un souvenir permanent du rire et des années. Ces rides fines, issues de la contraction répétée du muscle orbiculaire, sont souvent les premières à marquer le visage. La peau, plus fine dans cette zone, se plisse plus vite, donnant au regard un air fatigué malgré toute la bonne volonté du maquillage ou des crèmes anti-âges.
L’injection de botox aux coins des yeux, le fameuse toxine botulique, reste aujourd’hui le traitement le plus efficace pour corriger ces rides d’expression. Utilisée depuis longtemps en ophtalmologie, cette technique de médecine esthétique permet de lisser la zone traitée sans chirurgie, grâce à une faible dose injectée avec une aiguille très fine. En quelques jours, la peau devient plus lisse, le regard plus ouvert, sans figer les émotions.
Un protocole personnalisé, réalisé par le Docteur Djian, praticien qualifié à Paris, permet d’obtenir un résultat naturel et durable, avec un prix moyen accessible.
L’effet anti-âge du botox n’efface pas l’histoire du visage : il lui redonne simplement la lumière du regard.
Les rides de la patte d’oie apparaissent autour de la trentaine, quand la peau perd de son élasticité et que le muscle orbiculaire se contracte de façon répétée. Cette zone, fine et très sollicitée, est l’une des plus expressives du visage.
La zone dite de la patte d’oie désigne l’ensemble des ridules qui se forment au coin externe de l’œil. Elles s’étendent latéralement, suivant la direction naturelle du muscle orbiculaire, ce cercle musculaire qui entoure la paupière. Avec le temps, les contractions répétées creusent des lignes fines qui deviennent permanentes.
L’expression « patte d’oie » vient d’une analogie visuelle : les rides se déploient en éventail,
comme les traces laissées par une patte d’oiseau sur le sol. En anglais, on parle de « crow’s feet », littéralement « pattes de corbeau ». Le terme, apparu au XVIIe siècle, illustre la même idée : ces petits rayons partant du coin externe de l’œil qui témoignent d’une vie expressive.
Tout un bestiaire s’est d’ailleurs invité sur le visage : les rides du lion entre les sourcils, les plis du lapin sur le haut du nez ou encore le cou de dinde sous le menton rappellent, chacun à leur manière, les expressions et les traces du temps.
Elles sont dues à la répétition quotidienne des expressions du regard. À chaque sourire, chaque plissement d’œil face au soleil, le muscle orbiculaire se contracte. Au fil des années, la peau perd son collagène et sa capacité à retrouver sa forme initiale. La production de collagène diminue avec l’âge, le soleil, le tabac ou encore la fatigue chronique.
L’exposition solaire est un facteur aggravant majeur : les rayons UV détruisent progressivement les fibres de soutien, accentuant les ridules. D’autres éléments entrent en jeu : une peau sèche, un manque d’hydratation, une alimentation pauvre en antioxydants, ou encore le stress oxydatif lié à la vie urbaine.
La prévention commence bien avant leur apparition. Une protection solaire quotidienne, même en hiver, ralentit le vieillissement cutané. L’hydratation, la nutrition équilibrée et le repos favorisent la production naturelle de collagène. Les soins topiques à base de vitamine C, de rétinoïdes ou d’acide hyaluronique peuvent renforcer la peau du contour de l’œil.
Adopter de bonnes habitudes permet d’atténuer leur évolution : éviter de plisser les yeux au soleil, choisir des lunettes adaptées, hydrater la peau matin et soir, et limiter le tabac. Ces gestes ne remplacent pas le traitement médical, mais prolongent son efficacité.
Mais qu’est-ce que le botox ? Le botox est la référence en médecine esthétique pour traiter les rides d’expression. Son principe repose sur la toxine botulique, une substance utilisée depuis des décennies en ophtalmologie et en neurologie, aujourd’hui largement maîtrisée dans le domaine esthétique.
La toxine botulique est une molécule d’origine naturelle purifiée, utilisée à très faible dose. Elle agit comme un relaxant musculaire localisé. Injectée directement dans le muscle responsable des rides, elle bloque temporairement la libération de l’acétylcholine, neurotransmetteur responsable de la contraction. Le muscle se détend, la peau se lisse, sans altérer la sensibilité ni le mouvement global du visage.
Son usage en médecine esthétique repose sur des décennies d’observation clinique. Le botox du front, le botox des sourcils et le traitement des rides de la patte d’oie comptent parmi les applications les plus maîtrisées de la toxine botulique. Utilisée à faibles doses, elle détend les muscles responsables des rides d’expression pour un rajeunissement du regard naturel et équilibré.
Le muscle orbiculaire, responsable de ces rides, réagit particulièrement bien à la toxine botulique. En le relaxant légèrement, on réduit les contractions répétées sans altérer le sourire ni la mobilité du regard. L’objectif n’est pas de figer, mais de relâcher subtilement le muscle pour que la peau retrouve son aspect lisse.
Le secret d’un résultat naturel repose sur l’expérience du praticien. La précision du geste et le dosage exact sont essentiels : une faible dose permet de maintenir une expression vivante tout en supprimant les plis marqués. Une dose trop élevée, en revanche, peut rigidifier la zone et altérer le sourire.
Le botox traite les rides dynamiques, celles qui apparaissent avec le mouvement. L’acide hyaluronique, lui, comble les rides statiques, déjà creusées. Ces deux produits agissent donc de manière complémentaire. Dans le cas des pattes d’oie, le botox est privilégié car il s’attaque directement à la cause musculaire, là où l’acide hyaluronique risque de créer un effet gonflé.
Le choix du produit dépend de la nature de la ride, de l’âge du patient et du diagnostic du médecin esthétique. Dans certains cas, une combinaison légère des deux peut être proposée pour un rajeunissement global du haut du visage.
La séance est rapide (moins de 10 minutes), indolore et ne nécessite pas de chirurgie. Vous êtes accueilli pour une consultation préalable, puis l’injection est réalisée en quelques minutes avec une aiguille très fine. L’intervention relève d’un geste de médecine esthétique précis, réalisé avec le Dr Djian dans son cabinet au 5 square Thiers dans le 16eme arrondissement de Paris.
Avant toute injection, le docteur Jérémy Djian, évalue la morphologie du visage, l’épaisseur de la peau et la dynamique du regard. Il observe la zone orbitaire, les contractions au coin de l’œil et la position du sourcil. Cette étape permet de déterminer le nombre de points à injecter et la dose de toxine adaptée à chaque côté.
Une crème anesthésiante peut être appliquée, mais la procédure est en général indolore. C’est aussi lors de cette première consultation que le Doctor Djian vous explique le déroulement du traitement, les précautions à prendre et les effets attendus.
Vous trouvez que votre regard paraît fatigué ou moins ouvert qu’avant ?
Ces signes traduisent souvent une contraction excessive des muscles autour des yeux.
Consultez le Dr Djian à Paris pour un traitement sur mesure qui redonne éclat et naturel à votre regard.
Les injections de toxine botulique sont réalisées à l’aide d’une aiguille très fine. Le médecin injecte de très faibles quantités de toxine botulique à trois ou cinq points stratégiques au coin externe de l’œil. Chaque micro-dose est précisément placée dans le muscle orbiculaire pour obtenir un relâchement équilibré. La séance dure une dizaine de minutes, sans anesthésie lourde, ni éviction sociale.
Vous pouvez reprendre vos activités immédiatement après. Quelques rougeurs ou petites ecchymoses peuvent apparaître, mais elles disparaissent en quelques heures. Le geste est maîtrisé, contrôlé et non invasif.
Après la séance, il est recommandé d’éviter toute pression sur la zone injectée pendant 24 heures. Pas de massage, de sport intense ou de sauna. Le visage doit rester au repos pour permettre au produit de se fixer correctement. La peau peut présenter une légère sensation de tension, signe que la toxine commence à agir.
Dans la plupart des cas, le patient ne ressent aucune gêne.
Les premiers résultats apparaissent entre le 3ème et le 5ème jour. La peau se lisse progressivement, la contraction musculaire diminue. Le regard paraît reposé, les marques autour des yeux s’atténuent. Le résultat maximal est observé entre 10 et 15 jours après la séance.
La différence est subtile mais visible : les rides dynamiques sont atténuées, le visage paraît plus jeune sans modification de la forme de l’œil.
La durée moyenne des effets du botox est de 4 à 6 mois. Cette variation dépend de plusieurs facteurs : tonicité du muscle, âge du patient, exposition au soleil, hygiène de vie, stress ou tabac. Chez les patients plus jeunes, le résultat tend à durer davantage, car le relâchement musculaire est plus durable.
Une séance d’entretien, 2 fois par an, suffit à maintenir un résultat stable et naturel. Le produit ne s’accumule pas dans la peau, il se résorbe naturellement au fil du temps. Le médecin ajuste à chaque visite la dose et le placement en fonction de l’évolution du visage.
Le naturel repose sur l’équilibre entre relâchement musculaire et expressivité. Un regard figé perd son authenticité. Le Dr Djian privilégie une technique douce, avec de faibles doses réparties avec précision pour préserver les micro-expressions. Les injections sont réalisées proche de l’arcade sourcilière pour éviter de bloquer le drainage lymphatique et ainsi ouvrir le regard tout en réduisant les rides au coin des yeux.
Un traitement bien dosé conserve les “lignes fantômes” du sourire, ces légères rides résiduelles qui donnent vie au regard. Ces micro-contractions invisibles participent à la communication non verbale. Les nouvelles approches de médecine esthétique visent à relâcher sans effacer, à rajeunir sans standardiser.
Le secret d’un regard jeune, c’est qu’il reste expressif. Le Dr Djian ajuste chaque dose pour lisser la peau tout en laissant respirer les émotions, afin que le résultat paraisse simplement… naturel.
Dr Jérémy Djian pratique les injections de botox pour la zone de la patte d’oie à partir de 400 € la séance. Ce tarif correspond à un traitement global du haut du visage incluant l’injection de botox dans les rides du front et les rides inter sourcilières. Le prix varie selon la quantité de produit utilisée et la complexité du traitement. Chaque devis est établi après une consultation personnalisée au cabinet.
Le coût des injections dépend également du nombre de points injectés et du niveau de correction souhaité. L’objectif reste d’obtenir un résultat naturel, durable et équilibré.
| PRESTATION | PRIX TTC* à partir de |
|---|---|
| Toxine Botulique : Rides pattes d’oie | 400 euros |
*Les prix de médecine esthétique sont donnés à titre indicatif et sont non contractuels.
La première consultation de médecine esthétique au cabinet dans le 16ème à Paris est au prix de 100 euros.
Le botox est un traitement médical sûr, à condition qu’il soit pratiqué par un médecin qualifié. La toxine botulique est utilisée depuis plus de trente ans en médecine, avec un excellent profil de tolérance.
Il faut toutefois noter que certaines situations nécessitent de différer le traitement : grossesse, allaitement, infections locales, maladies neuromusculaires ou allergies (rares) connues à la toxine. Ces éléments sont systématiquement vérifiés lors de la première consultation pour garantir la sécurité du patient.
Les effets secondaires sont rares et généralement mineurs : petites rougeurs, ecchymoses ou légère tension au niveau de la zone traitée. Ces réactions disparaissent en quelques heures. Dans de très rares cas, une asymétrie temporaire du regard peut survenir, corrigée par une retouche légère après quelques jours.
L’intervention est non invasive, sans éviction sociale ni douleur significative. La reprise des activités est immédiate.
Seul un praticien expérimenté connaît les spécificités anatomiques du muscle orbiculaire et la manière d’ajuster la dose selon la morphologie du patient. Le Dr Djian, chirurgien esthétique à Paris, pratique ces injections avec une approche médicale précise et personnalisée, visant à préserver la dynamique naturelle du visage.
Un médecin non formé peut injecter une quantité inadaptée ou une mauvaise profondeur, provoquant un regard figé ou un affaissement du sourcil. Le choix du praticien est donc essentiel pour obtenir un résultat harmonieux, durable et sécurisé.
Les rides de la patte d’oie apparaissent tôt, mais leur traitement est désormais simple et maîtrisé. Le botox, injecté à faibles doses par un médecin esthétique expérimenté, permet de détendre le muscle orbiculaire et de lisser la peau tout en conservant un regard expressif. En quelques jours, les ridules s’estompent, le visage paraît plus reposé, sans figer les émotions. Ce traitement de médecine esthétique, rapide et indolore, offre un résultat naturel qui se maintient plusieurs mois.
Un suivi personnalisé garantit un rajeunissement du regard harmonieux, adapté à chaque morphologie et à chaque rythme de vie.
Les injections autour des yeux exigent précision et mesure. Confier cette zone au Doctor Djian, spécialiste en médecine esthétique à Paris, c’est choisir un résultat discret et durable.
Les premières rides d’expression apparaissent souvent autour de la trentaine, lorsque le muscle orbiculaire se contracte de manière répétée. Il est possible d’envisager des injections de toxine botulique dès les premiers signes visibles, notamment avec le Baby Botox, une technique douce utilisant de très faibles doses. Ce protocole préventif aide à atténuer les rides de la patte d’oie tout en conservant la mobilité du regard. Le Baby Botox est idéal pour les patients jeunes souhaitant préserver un aspect naturel sans figer les expressions du visage.
Le muscle orbiculaire entoure l’œil et agit comme un anneau. À chaque sourire, plissement des yeux ou exposition au soleil, il se contracte, créant de petites ridules au coin externe de l’œil. Avec le vieillissement cutané, la production de collagène diminue, la peau perd en élasticité, et ces plis temporaires deviennent permanents. Le botox pour la patte d’oie, en relâchant légèrement le muscle, permet de prévenir et corriger ces marques d’expression tout en préservant un regard naturel et expressif.
Lorsqu’il est injecté avec précision par un chirurgien esthétique expérimenté, le botox pour la zone orbitaire ne modifie ni la paupière, ni le sourire. L’objectif est de relâcher les muscles responsables des rides, non de les bloquer totalement. Un excès de produit ou une mauvaise profondeur d’injection peut, en revanche, entraîner un léger affaissement du sourcil ou une asymétrie temporaire. D’où l’importance d’un traitement sur mesure et d’un dosage adapté à chaque visage pour un résultat harmonieux et sûr.
Oui, le botox agit sur le même mécanisme musculaire, mais la quantité de produit injectée varie selon le type de peau et la force du muscle orbiculaire. Chez l’homme, les muscles sont souvent plus puissants, nécessitant une dose légèrement supérieure pour obtenir un relâchement équilibré. Le traitement des rides de la patte d’oie reste identique, mais l’objectif diffère : préserver la masculinité du regard tout en adoucissant les contractions. Chez la femme, la priorité est souvent un effet lissant naturel et un rajeunissement du regard sans rigidité.
Le botox peut être combiné à d’autres zones du haut du visage pour un résultat homogène. Les plus courantes sont le front (rides horizontales) et les rides du lion (entre les sourcils). Cette association permet de rajeunir le regard dans son ensemble. Certains patients optent aussi pour un traitement complémentaire à l’acide hyaluronique afin de combler les rides plus profondes ou redessiner la queue du sourcil. Le médecin esthétique adapte le protocole et la dose injectée selon la morphologie et le niveau de correction souhaité.
Le botox pour bruxisme, quant à lui, est utilisé pour détendre les muscles masséters responsables du grincement involontaire des dents, améliorant à la fois le confort musculaire et la ligne du bas du visage.
Dr. Jérémy Djian is a plastic surgeon based at 5 Square Thiers, near the Victor Hugo roundabout in Paris’s 16th arrondissement.
He trained in Paris and remains affiliated with the hospital in the prestigious department headed by Prof. Laurent Lantieri.
