fb Mastopexie : 10 points à vérifier avant de vous lancer
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Surgery

Mastopexie : 10 choses à vérifier absolument (et que personne ne vous dit)

publié le 24.11.2025 par Dr Djian
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Summary
  • LES 10 POINTS ESSENTIELS QUI CHANGENT TOUT AVANT UNE MASTOPEXIE
  • PRÉPARATION : LES ACTIONS QUI INFLUENCENT PLUS LE RÉSULTAT QUE LA TECHNIQUE
  • RÉSULTAT : CE QUE VOUS VERREZ VRAIMENT AUX JOURS 1, 30, 90 ET 365
  • DÉCIDER D’UNE MASTOPEXIE EN TOUTE CONNAISSANCE DE CAUSE
In short
  • La mastopexie dépend du réel degré de ptôse, du volume du sein, de la forme du thorax et d’un bilan mammaire à jour.
  • The skin quality (épaisse, fine, vergeturée, relâchée) pèse sur la tenue du résultat et l’aspect des cicatrices, plus que les photos avant / après.
  • L’intervention corrige une poitrine tombante au prix de cicatrices (aréolaire, verticale, T inversé) qui s’atténuent mais restent visibles, parfois améliorées par laser.
  • e résultat est fragilisé par tabac, yo-yo pondéral, soutien-gorge inadapté, grossesse/allaitement ultérieurs, avec risque de récidive de ptôse et de retouche par la suite.
  • Décider suppose d’intégrer limites, risques, coût global et d’en parler franchement en consultation avec un chirurgien esthétique qualifié, pas en scrollant les réseaux sociaux.

Poitrine vidée, seins qui tombent après grossesses, allaitement, variations de poids… et cette question qui revient : “est-ce que je fais enfin une mastopexie ?”. L’idée de remonter la poitrine séduit, mais les cicatrices, l’anesthésie, la peur du raté refroidissent vite. Normal : un breast lift n’est pas un filtre, c’est une chirurgie qui change réellement le corps.

La mastopexie est une breast surgery remonte la poitrine, retend la peau, redessine le volume, parfois avec implant ou lipofilling. Résultat attendu : des seins mieux positionnés, plus cohérents avec votre silhouette. Pas un retour aux seins de 20 ans, pas un résultat figé, pas un “sans cicatrice”.

En réalité, vous échangez une ptôse mammaire contre des cicatrices et un effet galbe retrouvé. Le résultat dépendra de votre peau, de votre anatomie, de votre poids, de votre mode de vie et des risques inhérents à toute chirurgie.

Les 10 points qui suivent décortiquent tout cela avant de vous lancer dans une telle opération.

 

LES 10 POINTS ESSENTIELS QUI CHANGENT TOUT AVANT UNE MASTOPEXIE

 

1. LE VRAI DEGRÉ DE VOTRE PTÔSE : LE FACTEUR QUI DÉCIDE DE TOUTE LA STRATÉGIE OPÉRATOIRE

 

Une bonne candidate présente une ptôse mammaire réelle : l’aréole située sous le sillon sous-mammaire, affaissement visible en position debout, difficulté à se sentir à l’aise sans soutien-gorge.

The volume de la poitrine compte aussi : sein trop lourd avec hypertrophy, ou au contraire sein vidé après grossesse ou perte de poids importante.

La ptôse se classe ensuite en grades (légère, modérée, sévère) en fonction de la position de l’aréole par rapport au sillon sous-mammaire.

 

stades de la ptôse mammaire

 

Si l’aréole est à peine au niveau du sillon, un redrapage limité avec cicatrice péri-aréolaire peut suffire. Si elle est largement en dessous, une mastopexie avec cicatrice verticale, voire en ancre de marine, est souvent nécessaire. Le degré de tombant, associé à la qualité de la peau, au poids stable et à un bilan mammaire à jour (mammographie, échographie), conditionne le type de dessin cutané, la quantité de peau à retirer et le risque de retouche.

 

2. VOTRE QUALITÉ DE PEAU : L’INDICATEUR QUI PRÉDIT VOS CICATRICES ET LA TENUE DU RÉSULTAT

 

Une peau jeune, épaisse, peu marquée par les grossesses, les variations de poids ou le soleil « retient mieux » le sein et vieillit plus lentement. À l’inverse, une peau fine, vergeturée, relâchée après perte de poids importante ou allaitement prolongé a moins de “tenue”. Le même geste opératoire ne donnera pas le même résultat dans le temps.

La qualité cutanée influence aussi la cicatrisation : risque de cicatrice élargie, rougeur, hypertrophique ou au contraire fine et discrète. C’est pour cela que le chirurgien vous parle de phototype, de tension cutanée, de soutien-gorge de contention jour et nuit après l’intervention. Cette réalité doit peser dans votre décision, plus que n’importe quelle photo retouchée.

 

3. LA FORME DE VOTRE THORAX : L’ASYMÉTRIE QUE LA CHIRURGIE NE CORRIGE PAS TOUJOURS

 

Certaines femmes ont un thorax discrètement asymétrique : côtes un peu plus saillantes d’un côté, sternum légèrement tourné, creux ou bombé. La mastopexie agit sur la poitrine, pas sur l’architecture osseuse. Le chirurgien peut corriger une partie de l’asymétrie mammaire (volume, hauteur d’aréole, excès de peau), mais pas transformer un thorax en entonnoir ou en carène. Ignorer cette base anatomique conduit à croire que “la chirurgie va tout remettre droit”.

On obtient souvent une amélioration, pas une symétrie parfaite. L’enjeu est d’anticiper ce que l’intervention peut réellement corriger et se la faire expliquer clairement en consultation pré-opératoire.

 

4. VOTRE OBJECTIF DE VOLUME : REDRAPAGE SEUL, IMPLANTS OU LIPOFILLING ? FAITES LE BON CHOIX

 

Une mastopexie peut :

  • soit remonter et retendre la poitrine (plastie mammaire sans changement de volume notable),
  • soit être associée à une breast augmentation by prothèse si vous voulez augmenter le volume des seins,
  • soit être complétée par un breast lipofilling  pour un galbe plus naturel avec la réinjection de votre propre graisse.

 

Si le sein est lourd et tombant, une réduction mammaire peut être nécessaire pour alléger la poitrine et limiter le risque de nouvelle ptôse.

Si le sein est “vidé” après grossesse par exemple, le redrapage seul peut donner un résultat trop plat.

C’est la cohérence entre votre souhait de volume et la technique choisie qui conditionne la satisfaction. Le Docteur Djian à Paris 16 peut justement vous aider à arbitrer entre ces options à partir de mesures précises et de simulations adaptées à votre silhouette.

 

5. LES CICATRICES QUE VOUS AUREZ RÉELLEMENT : PAS CELLES DES PHOTOS RETOUCHÉES

 

En mastopexie, il existe trois grands types de cicatrices, le choix dépend du degré de ptôse et de l’excès de peau à retirer :

  • periareolar (autour de l’aréole),
  • verticale (autour de l’aréole + verticale jusqu’au sillon)
  • and in T inversé(péri-aréolaire + verticale + horizontale dans le sillon sous-mammaire).

 

Les premières semaines, la cicatrisation passe par une phase rouge, parfois gonflée, avec des pansements et un soutien-gorge compressif. Le résultat cicatriciel définitif se juge après 12 à 18 mois.

In some cases, a traitement complémentaire par laser type UrgoTouch peut être proposé pour aider à limiter le risque de cicatrices épaisses ou trop visibles. Et, dans la réalité, une grande majorité de femmes jugent que le “bilan” est largement positif : une fois la cicatrisation avancée, elles préfèrent très clairement une cicatrice fine et bien placée à une poitrine lourde, vidée ou tombante. Le confort dans les vêtements, le décolleté, l’image dans le miroir pèsent beaucoup plus que la ligne blanchie au niveau du sein.

Croire qu’on aura un lifting mammaire “sans cicatrice” est une illusion entretenue par les filtres d’images. Le vrai choix est d’accepter des cicatrices bien placées cachés dans un soutient gorge en échange d’une poitrine rehaussée, galbée et d’un aspect rajeuni. De nombreuses femme ont énormément gagnés en confiance grâce à cette intervention.

 

6. VOTRE MODE DE VIE : LE PARAMÈTRE QUI PEUT RUINER UN BON RÉSULTAT (SPORT, POIDS, TABAC)

 

Même une intervention de chirurgie plastique parfaitement réalisée peut être mise en échec par le mode de vie.

  • Le tabac augmente le risque d’infection, de nécrose cutanée et de mauvaise cicatrisation.
  • Les variations de poids répétées distendent à nouveau la peau et recréent un affaissement.
  • Le sport à impact précoce ou sans soutien-gorge adapté augmente les contraintes mécaniques sur la poitrine.

 

Avant une mastopexie, il faut donc : stabiliser son poids, arrêter ou réduire fortement le tabac, prévoir un temps de récupération avec limitation de certaines activités, porter le soutien-gorge de contention jour et nuit au début. Sans ces ajustements, même la meilleure technique donnera un résultat plus fragile et moins durable.

 

7. VOS ATTENTES ESTHÉTIQUES : CE QUI EST POSSIBLE… ET CE QUI NE LE SERA JAMAIS

 

Certaines patientes espèrent une poitrine très haute, très ronde, avec des cicatrices quasi invisibles, un résultat qui ne bouge plus et qui ne réagit ni au temps ni au poids. En pratique, cet ensemble est irréaliste : une mastopexie améliore nettement la forme et la position des seins, mais ne peut pas cumuler tous ces objectifs à la fois, sur n’importe quelle anatomie.

Une mastopexie peut, lorsque l’indication est bien posée, remonter, raffermir et recentrer la poitrine, corriger une partie de l’asymétrie et offrir un résultat esthétique souvent satisfaisant pour la patiente. Le degré d’amélioration dépend cependant de votre point de départ : qualité de peau, volume mammaire, type de ptôse, antécédents de grossesse ou de perte de poids importante.

Deux femmes n’obtiendront pas exactement le même rendu avec la même technique.

En revanche, cette intervention ne peut pas garantir une forme identique à celle d’un sein sous implant dans un push-up, ni empêcher le vieillissement naturel, ni effacer toutes les irrégularités de peau ou supprimer toute asymétrie de volume. L’essentiel est d’ajuster vos attentes à ce que votre anatomie, votre peau et la technique choisie permettent réellement.

Une consultation approfondie sert précisément à confronter votre souhait à ce qui est faisable dans votre cas, plutôt qu’à simplement fixer une date de bloc.

 

8. LE DÉROULEMENT DE L’OPÉRATION : CE QUI SE PASSE VRAIMENT EN SALLE D’INTERVENTION

 

L’intervention se déroule sous general anesthesia, en clinique, le plus souvent en ambulatoire (entrée le matin, sortie le jour même).

Le chirurgien commence par redessiner précisément les futures cicatrices debout ou semi assise, puis réalise l’intervention en salle d’opération : retrait de l’excès de peau, recentrage de la glande mammaire, remontée de l’aréole et du mamelon et redrapage de la poitrine, avec éventuellement la mise en place d’une prothèse mammaire ou l’intervention d’un lipofilling.

La durée d’intervention varie en fonction du geste. En fin de procédure, des pansements et un soutien-gorge de contention sont mis en place.

Comprendre ces étapes réduit l’angoisse liée à l’hospitalisation et à l’intervention elle-même.

 

9. LES RISQUES CONCRETS : CEUX QUE CERTAINES BROCHURES MINIMISENT

 

Comme toute intervention chirurgicale, une mastopexie comporte certains risques : hématome, infection, retard de cicatrisation, désunion de plaie, troubles de la sensibilité du mamelon, asymétrie résiduelle, cicatrices hypertrophiques ou élargies.

Des complications plus rares existent : nécrose aréolaire, nécrose cutanée, phlébite malgré les bas de contention, réaction à l’anesthésie.

Il faut aussi intégrer le risque de retouche pour corriger une asymétrie, une cicatrice disgracieuse ou une ptôse partiellement persistante.

La consultation pré-opératoire sert à identifier vos facteurs de risque (tabac, poids, qualité de peau, antécédents médicaux) et à adapter la prise en charge.

 

10. LE VRAI COÛT D’UNE MASTOPEXIE : PRIX, RETOUCHES, MATÉRIEL, TEMPS D’ARRÊT

 

Le prix affiché inclut généralement : honoraires du chirurgien, frais de bloc opératoire, d’anesthésie et de clinique. S’y ajoutent le support bra, the pansements, the consultations de suivi (parfois incluses, mais pas toujours), et surtout votre temps de récupération : arrêt de travail éventuel, organisation familiale, aide à domicile si nécessaire. Le “coût réel” ne se limite donc pas à un simple chiffre sur un devis.

Quand la mastopexie est purement esthétique, l’Assurance maladie et la Sécurité sociale ne prennent pas en charge l’intervention.

 

En revanche, si la mastopexie est associée à une réduction mammaire with retrait d’au moins 300g par sein, ou en cas d’hypertrophie mammaire ou de malformation importante reconnue, une prise en charge partielle peut être possible, selon les critères de la chirurgie plastique reconstructrice et esthétique. Les frais de clinique et d’anesthésie peuvent alors être couverts en partie, tandis qu’une partie des honoraires du chirurgien, des implants éventuels ou des retouches reste souvent à votre charge. Anticiper ce scénario, y compris la possibilité d’une retouche payante, fait partie d’une décision éclairée.

 

Vous pouvez en savoir plus sur le lifting mammaire après sleeve et sa prise en charge via notre article dédié.

 

Si vous souhaitez connaitre les prix du lifting mammaire du Dr Djian vous pouvez consulter sa page tarifs chirurgie mammaire

 

PRÉPARATION : LES ACTIONS QUI INFLUENCENT PLUS LE RÉSULTAT QUE LA TECHNIQUE

 

La phase pré-opératoire ne se limite pas à signer une fiche d’information. Ce que vous faites dans les semaines avant l’intervention peut améliorer la qualité de la cicatrisation, réduire le risque de complication et optimiser le résultat esthétique à long terme.

 

LES 4 FACTEURS QUI CHANGENT TOUT : POIDS, TABAC, PEAU, SOUTIEN-GORGE

 

Quatre leviers concrets :

  • poids : viser une silhouette stable, proche de votre poids d’équilibre, pour éviter de “casser” le résultat par une perte ou prise de poids importante après la chirurgie
  • tabac : arrêt idéal au moins 4 à 6 semaines avant et après l’intervention pour réduire les risques de nécrose cutanée et de mauvaise cicatrisation
  • skin : hydrater, protéger vous du soleil, éviter les expositions excessives pour préserver la qualité cutanée
  • soutien-gorge : prévoir dès la deuxième consultation le modèle compressif adapté, à porter jour et nuit pendant plusieurs semaines post-opératoires.

 

Ce sont des actions simples, mais leur impact est réel.

 

LE PLAN DE PRÉPARATION RÉALISTE AVANT LA CHIRURGIE

 

Un bon plan pré-opératoire comprend :

  • une première consultation détaillée avec examen clinique,
  • discussion éclairée des objectifs,
  • explication des cicatrices et du déroulement de l’intervention ;
  • la réalisation d’un bilan d’imagerie (mammographie, échographie mammaire) selon l’âge et les antécédents, pour éliminer un cancer du sein méconnu ;
  • une consultation d’anesthésie ;
  • l’organisation pratique des jours post-opératoires (aide pour les enfants, courses, travail).

Il inclut aussi la gestion des traitements en cours, l’arrêt éventuel de certains médicaments, et la préparation psychologique : accepter le changement, les pansements, la période de gonflement.

Si ces points vous semblent flous, une consultation au Cabinet du Docteur Djian à Paris vous permettra de structurer cette préparation et de clarifier ce qui est réellement nécessaire dans votre cas.

 

 

RÉSULTAT : CE QUE VOUS VERREZ VRAIMENT AUX JOURS 1, 30, 90 ET 365

 

RÉSULTAT IMMÉDIAT VS RÉSULTAT FINAL : POURQUOI LE SEIN ÉVOLUE AUTANT

 

Le résultat d’une intervention mammaire ne se juge pas dans le miroir du lendemain. La poitrine passe par des phases successives : gonflement, tension, cicatrices rouges, puis assouplissement, descente progressive du volume et maturation cicatricielle.

  • Jour 1 : seins plus hauts, plus fermes, parfois très “ronds”, avec pansements, œdème, sensations de tension et de tiraillement. À ce stade, la forme est artificiellement trop projetée.
  • Autour de 30 jours : le volume commence à se repositionner, la peau se détend, les cicatrices restent rouges, parfois prurigineuses, la sensibilité est variable (hypersensibilité ou au contraire zones un peu endormies).
  • Vers 90 jours : la poitrine adopte une forme plus naturelle, les cicatrices s’éclaircissent doucement, la plupart des activités quotidiennes sont reprises.
  • Autour de 1 an : on juge le résultat définitif : position de l’aréole, stabilité du volume mammaire, qualité des cicatrices. Le sein aura toujours une certaine mobilité, c’est normal.

 

POURQUOI CERTAINES PTÔSES REVIENNENT (ET COMMENT LIMITER LE RISQUE)

 

La récidive de ptôse n’est pas toujours un “échec” du chirurgien. Plusieurs facteurs y contribuent : poids qui varie, grossesse après l’intervention, allaitement, tissu mammaire très lourd, qualité cutanée fragile, absence de soutien-gorge adapté. Le geste opératoire peut être parfaitement réalisé et, malgré tout, la gravité et le temps continuent d’agir.

Pour limiter ce risque, il faut stabiliser le poids, porter un soutien-gorge de bonne qualité au quotidien, éviter les variations brutales de volume mammaire et surveiller régulièrement la poitrine (auto-examen, imagerie selon les recommandations). Quand la ptôse réapparaît de manière gênante, une correction de la ptôse ou un lifting mammaire secondaire peut être discuté, en intégrant le capital cicatriciel déjà présent.

 

DÉCIDER D’UNE MASTOPEXIE EN TOUTE CONNAISSANCE DE CAUSE

 

Au final, la question n’est plus “est-ce que ma poitrine me complexe ?”, mais “est-ce que je suis prête à accepter ce que cette chirurgie implique : cicatrices, contraintes post-opératoires, éventuels risques et bénéfices réels sur ma silhouette et mon confort ?”.

Une mastopexie peut améliorer votre poitrine considérablement, à condition que le geste soit adapté à votre anatomie et que vos attentes soient claires. Ce choix ne se fait pas sur des photos retouchées, mais sur un échange direct, un examen précis et des réponses franches. Si vous voulez confronter votre projet à un avis spécialisé, vous pouvez réserver une consultation avec le Docteur Djian à Paris 16 pour obtenir une analyse personnalisée et décider, en toute connaissance de cause, si ce lifting mammaire a vraiment du sens pour vous.

 

Your Questions

QUESTIONS FREQUENTES SUR LA MASTOPEXIE

MASTOPEXIE OU AUGMENTATION MAMMAIRE : COMMENT CHOISIR POUR CORRIGER UNE PTOSE DU SEIN ET LE VOLUME DE LA POITRINE ?

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La mastopexie sert à remonter un sein tombant : on retend la peau, on recentre l’aréole, mais le volume global change peu.

L’augmentation mammaire, elle, vise surtout à augmenter le volume et le galbe par implant ou lipofilling, sans corriger une ptôse marquée.

Pour une poitrine tombante mais encore suffisamment remplie, on privilégie généralement la mastopexie seule. Si le sein est à la fois vidé et tombant (dit en « gant de toilette ») on associe souvent lifting et augmentation.

Le choix final se fait après examen clinique et définition précise de votre objectif.

MASTOPEXIE ET GROSSESSE : VAUT-IL MIEUX FAIRE L’OPERATION AVANT OU APRES UNE GROSSESSE / UN ALLAITEMENT ?

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En règle générale, il est préférable de réaliser une mastopexie après une grossesse et un allaitement, car ces événements peuvent à nouveau modifier la forme du sein, la ptôse et la qualité de la peau. Faire l’intervention avant expose à un risque plus important de résultat dégradé ensuite.

Si une grossesse survient après un lifting mammaire, ce n’est pas “interdit”, mais il faut accepter une possible perte de fermeté. La décision se prend au cas par cas en consultation avec le chirurgien.

LES MAMELONS SONT-ILS DIRECTEMENT INCISES PENDANT LA MASTOPEXIE ?

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Oui, la mastopexie implique le plus souvent une incision autour de l’aréole, mais le mamelon n’est pas « coupé » ni séparé du sein. La cicatrice est placée à la limite entre peau et aréole, zone où la différence de couleur la rend généralement discrète. Le mamelon reste attaché à la glande par un pédicule, ce qui préserve au mieux vascularisation et sensibilité, même si un trouble reste possible.

LA MASTOPEXIE MODIFIE-T-ELLE LA SENSIBILITE DU SEIN ET DU MAMELON, ET CELA EST-IL DEFINITIF ?

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Oui, une mastopexie peut modifier la sensibilité du sein et du mamelon. Après l’intervention, il est fréquent d’avoir une sensibilité diminuée, augmentée ou des zones un peu “endormies”. Dans la majorité des cas, cette sensibilité évolue et s’améliore progressivement au fil des mois, sans être définitivement perdue. Cependant, une perte ou une modification durable de la sensibilité reste possible, surtout en cas de ptôse importante ou de geste complexe.

SERAI-JE ASSEZ AUTONOME POUR M’OCCUPER DES ENFANTS ET DU QUOTIDIEN A LA MAISON APRES LA MASTOPEXIE ?

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Les premiers jours après la mastopexie, vous ne serez pas autonome pour tout : il faut éviter de porter les enfants, de lever les bras trop haut, de faire le ménage, les courses ou de gérer seule les bains. Prévoyez une aide réelle à la maison pendant au moins une semaine.

En général, les petites tâches du quotidien sont possibles progressivement après 7 à 10 jours, à condition qu’elles restent légères. Le port de charge et les gestes physiques importants sont limités pendant 4 à 6 semaines.

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Dr. Jérémy Djian
Dr. Jérémy Djian

Dr. Jérémy Djian is a plastic surgeon based at 5 Square Thiers, near the Victor Hugo roundabout in Paris's 16th arrondissement.
He trained in Paris and remains affiliated with the hospital in the prestigious department headed by Prof. Laurent Lantieri.

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