La blépharoplastie supérieure est une intervention chirurgicale qui retire l’excès de peau (et parfois de graisse) au niveau de la paupière supérieure. Quand la paupière est tombante, le pli palpébral disparaît, le regard semble fermé et l’air fatigué devient permanent, même après une nuit complète de sommeil. En chirurgie esthétique du visage, cette opération vise à redessiner le pli de la paupière, à rajeunir le regard et à rétablir une ligne de paupière nette.
Cette chirurgie esthétique des paupières supérieures, fréquemment réalisée à partir de la quarantaine mais parfois plus tôt en cas de relâchement marqué, agit là où les crèmes, le maquillage ou les simples injections sont insuffisants. Elle corrige ce surplus de peau qui forme une casquette sur les cils et alourdit la partie supérieure de l’œil. Lorsqu’il existe aussi des poches graisseuses palpébrales, la blépharoplastie permet de retirer cet excédent graisseux pour embellir le regard et rendre le visage plus jeune, sans changer les traits.
Enfin, la blépharoplastie supérieure a une dimension fonctionnelle. Quand la peau de la paupière supérieure retombe sur les cils, elle peut réduire le champ visuel supérieur, fatiguer le muscle releveur de la paupière et provoquer une sensation de tension ou de lourdeur en fin de journée. En retirant ce surplus cutané et graisseux, l’intervention améliore le confort visuel et diminue les efforts permanents pour garder les yeux ouverts.
Les injections du sourcil agissent, elles, principalement sur la position du sourcil et la musculature frontale. Avec les injections de botox, le chirurgien ou le médecin esthétique relâche certains muscles qui tirent le sourcil vers le bas, ce qui permet un léger relevé de la queue ou du corps du sourcil. Ce geste ne retire pas d’excès de peau, mais il peut ouvrir le regard en donnant plus d’espace visible entre le cil et le sourcil.
Les injections d’acide hyaluronique, elle, peuvent être utilisées pour soutenir localement le sourcil, combler un creux ou restaurer un volume perdu au niveau du tiers supérieur du visage. En redonnant du soutien à cette zone, la paupière supérieure paraît moins affaissée, comme si le rideau était très légèrement retendu. Ce traitement non chirurgical est adapté lorsque la paupière n’a pas encore un excès cutané important mais que le sourcil commence à s’affaisser.
Les injections du sourcil sont donc efficaces pour de légers signes de vieillissement, un sourcil bas ou une asymétrie modérée. En revanche, elles n’ont pas le pouvoir de retirer un véritable excès cutané de la paupière supérieure. Elles ne corrigent pas les poches sous les yeux ni une paupière inférieure marquée.
C’est pourquoi il est essentiel d’identifier si le problème principal vient de la paupière, du sourcil ou des volumes du front avant de décider. Une consultation après examen médical précis est indispensable.
Le Docteur Djian, à la fois médecin esthétique et Chirurgien esthétique à Paris saura vous orienter dans le bon choix à la suite d’une consultation personnalisée.
La blépharoplastie supérieure est indiquée quand l’excès de peau est net, visible en position de repos, et qu’il forme un pli épaissi. Le maquillage devient pénible : le fard disparaît dans le pli, le trait de crayon se déforme, le mascara marque la peau tombante. Le regard paraît constamment fatigué, comme “alourdi” par la paupière supérieure. À ce stade, les injections ne suffisent plus.
Au-delà du simple excès cutané, la chirurgie traite aussi le dermatochalasis, un relâchement pathologique de la paupière supérieure. Ce trouble entraîne une perte de visibilité du pli palpébral, limite le champ visuel et gêne la vie quotidienne. Quand il devient fonctionnel et non seulement esthétique, la blépharoplastie offre une correction cohérente et durable.
En présence de poches graisseuses situées surtout au coin interne, le regard semble gonflé. La blépharoplastie permet de retirer cet excès sans vider la paupière. L’objectif est simple : alléger sans creuser, respecter le volume naturel, éviter l’œil “squelettique”.
L’intervention est pertinente lorsque le problème est installé depuis des années et non une variation ponctuelle de fatigue. Les photos anciennes montrant un regard plus ouvert sont un indicateur fiable : quand la peau forme un véritable rideau, la chirurgie des paupières supérieures devient la solution la plus cohérente.
La consultation sert à confirmer l’indication, écarter l’idée d’un “lifting express” par injection et définir un plan opératoire réaliste. Le geste doit être proportionné : retirer ce qui gêne, préserver ce qui structure le regard.
Dans certains cas, l’excès de peau n’est pas seulement esthétique. Il peut entraîner une réduction du champ visuel supérieur, obligeant à relever le menton ou à ouvrir davantage les yeux pour voir correctement. Cette contrainte visuelle provoque une fatigue oculaire, des difficultés à la lecture ou au travail sur écran, surtout en fin de journée. La blépharoplastie supérieure permet alors une amélioration fonctionnelle réelle.
Quand la paupière tombe, le muscle releveur travaille en permanence pour compenser le poids cutané. Le front prend alors le relais : contraction répétée, sourcil relevé malgré soi, crispation des orbiculaires. Cette sur-sollicitation du front finit par générer des céphalées de tension, une sensation de lourdeur autour des yeux et une fatigue mentale disproportionnée par rapport à l’activité visuelle. En retirant l’excès cutané de façon mesurée, la blépharoplastie diminue ces efforts musculaires chroniques.
Lorsque la peau n’appuie plus sur la paupière, la vision se libère, la lecture se stabilise et le regard retrouve une position neutre. Le patient n’a plus besoin de forcer pour garder les yeux ouverts. Le confort visuel s’améliore dans les tâches quotidiennes, sans artifices posturaux.
Un examen médical et ophtalmologique précis permet d’évaluer cette dimension fonctionnelle. Selon la sévérité du trouble et la gêne visuelle documentée, une prise en charge partielle par la Sécurité sociale peut parfois être discutée.
La blépharoplastie supérieure est le plus souvent réalisée sous anesthésie locale, parfois avec une légère sédation selon le cas et la préférence de la patiente. Avant l’intervention, une consultation préopératoire permet d’évaluer la paupière, la qualité de la peau, la position du sourcil, les attentes esthétiques et fonctionnelles. C’est aussi le moment d’échanger sur les risques, la guérison, le suivi post-opératoire et le coût de la procédure.
Le moment essentiel est le marquage des incisions, effectué en position assise et éveillée. Le chirurgien dessine l’excès cutané à retirer en respectant précisément le pli naturel de la paupière. Ce tracé conditionne la forme finale du regard et la discrétion de la cicatrice. Au bloc opératoire, l’incision est faite dans ce pli, l’excédent de peau est retiré et, si nécessaire, une poche de graisse est réséquée avec prudence pour préserver le volume. La suture est réalisée avec un fil très fin. L’acte dure en moyenne 30 à 60 minutes pour les deux paupières supérieures.
Les suites sont généralement simples : œdème, petites ecchymoses et légère sensation de tiraillement pendant quelques jours. Le gonflement diminue en une à deux semaines. Il est recommandé de nettoyer délicatement l’œil et le bord palpébral avec du sérum physiologique selon les instructions données.
La reprise sociale est possible après quelques jours, parfois aidée par le maquillage. Les résultats définitifs s’apprécient après quelques semaines à quelques mois, lorsque les tissus se sont assouplis.
Un suivi personnalisé au cabinet du Docteur Djian à Paris accompagne la patiente du premier examen à la fin de la cicatrisation.
La toxine botulique permet d’agir sur les muscles dépresseurs qui tirent le sourcil vers le bas pour obtenir un léger « Brow lift« . En relâchant ces muscles, le sourcil peut remonter légèrement, surtout au niveau de la queue, ce qui dégage la paupière supérieure et ouvre le regard de manière subtile. Ce traitement est intéressant chez les femmes qui commencent à percevoir un affaissement, mais sans excès de peau majeur. Dans le même temps, la toxine botulique peut être injectée autour des yeux pour lisser les rides de la patte d’oie, ce qui adoucit le contour de l’œil et renforce l’effet de rajeunissement du regard.
L’effet obtenu doit rester naturel. L’objectif n’est pas de figer le front ni de créer un “regard étonné”, mais de rééquilibrer les forces musculaires du tiers supérieur du visage.
Les injections sont réalisées en consultation au Cabinet, 5 square Thiers, Paris 16, en quelques minutes, après un examen médical précis.
L’amélioration commence en général à se voir entre le 3ᵉ et le 5ᵉ jour, se stabilise autour du 10ᵉ–15ᵉ jour, puis se maintient en moyenne 4 à 6 mois avant que la musculature ne retrouve progressivement son tonus initial.
Ce geste est particulièrement apprécié par les femmes qui souhaitent tester un premier traitement médical avant d’envisager une intervention chirurgicale. Il peut donner un aperçu de ce que représente un regard légèrement plus ouvert.
Cependant, il ne remplace pas une blépharoplastie supérieure lorsque l’excès cutané est important. Cette limite doit être clairement expliquée lors de la consultation pour éviter des attentes irréalistes.
Les injections d’acide hyaluronique peuvent être utilisées au niveau du sourcil ou de la région temporale pour restaurer un volume perdu et donner du soutien aux tissus. En redonnant de la structure à cette zone, la peau de la paupière supérieure paraît moins relâchée et le regard plus jeune. En complément, l’acide hyaluronique peut être injecté au niveau des cernes pour combler le creux sous l’œil. Associé au traitement des pattes d’oie par toxine botulique, cela permet un véritable rajeunissement global de la région péri-orbitaire, sans chirurgie.
Ce type d’injection convient surtout aux femmes qui ont un affaissement léger à modéré, souvent vers la quarantaine, sans excès cutané marqué.
Les résultats sont temporaires, avec une durée d’effet de plusieurs mois à plus d’un an selon les produits utilisés, la zone et le métabolisme de la patiente.
Les injections présentent un intérêt pratique : le geste dure 5 à 10 minutes, la vie sociale reprend immédiatement et aucune cicatrice chirurgicale n’est créée. Le gonflement reste généralement discret. Réalisées par un médecin expérimenté, les complications sont peu fréquentes. Certaines existent toutefois et ne doivent pas être minimisées, notamment les complications vasculaires rares mais sérieuses décrites lors d’injections d’acide hyaluronique dans la zone péri-orbitaire.
En revanche, leurs effets sont temporaires. La toxine botulique doit être renouvelée tous les 4 à 6 mois environ, l’acide hyaluronique tous les 9 à 18 mois selon les zones.
Sur le plan financier, le coût de chaque séance peut certes paraître plus faible que celui d’une intervention de blépharoplastie supérieure. Mais, dans le temps, le budget cumulé des injections se rapproche ou dépasse parfois celui d’une chirurgie durable. Il est donc important de réfléchir en termes de projet global : quelques années d’injections légères, puis une chirurgie lorsque l’excès cutané devient évident, peuvent représenter un compromis intelligent.
Si vous hésitez entre multiplier les injections ou programmer une intervention, une consultation avec un spécialiste permet d’établir un plan de traitement réaliste, adapté à votre âge, à vos besoins et à votre budget.
Le cabinet du Docteur Djian à Paris peut vous accompagner pour comparer objectivement la chirurgie des paupières supérieures et la médecine esthétique du regard en fonction de votre situation.
Choisir entre blépharoplastie supérieure et injections du sourcil, c’est surtout choisir comment vous voulez vivre avec votre regard au quotidien.
La blépharoplastie supérieure modifie la “structure” : elle enlève l’excès de peau, libère l’ouverture de l’œil et peut aussi corrige les poches sous les yeux lorsque combinée à une blépharoplastie inférieure. Concrètement, cela peut changer votre confort sur écran, la façon dont vos lunettes reposent sur le nez, la fatigue en fin de journée, avec un résultat qui reste stable dans le temps. En contrepartie, il faut accepter quelques jours de ralentissement : œdème, ecchymoses, organisation de l’activité professionnelle, parfois un court arrêt de travail, éviter le sport et les voyages juste après l’intervention.
Les injections, elles, jouent plutôt sur le “réglage fin” : adoucir un sourcil froncé, remonter légèrement la queue du sourcil, effacer un air sévère en visioconférence, sans vraie coupure sociale. Elles sont intéressantes si votre priorité est de rester immédiatement présentable, avec un agenda chargé, des déplacements fréquents, une exposition médiatique ou un poste très en contact public. Mais elles supposent d’accepter un entretien régulier, donc un engagement dans la durée.
En consultation, l’enjeu n’est pas seulement de regarder vos paupières, mais de comprendre comment vous travaillez, faites du sport, gérez votre image… pour que le traitement choisi s’intègre dans votre vie plutôt que l’inverse.
Le prix d’une blépharoplastie supérieure dépend de plusieurs paramètres : complexité du geste de chirurgie plastique au niveau des paupières, clinique choisie, type d’anesthésie, honoraires du chirurgien et de l’anesthésiste, et du fait que l’opération soit ou non associée à une blépharoplastie inférieure.
Les soins, le suivi et certains frais techniques peuvent être compris selon les prix pratiqués par la structure. En consultation, ce point devient le sujet de votre projet : un devis précis est réalisé, adaptés à votre situation, afin que vous sachiez exactement ce qui est compris avant de vous décider.
Dans la majorité des cas, la blépharoplastie supérieure traite un excédent de peau à visée esthétique et n’est donc pas prise en charge par l’assurance maladie. Toutefois, lorsqu’il existe une amputation du champ visuel objectivée, une prise en charge partielle peut être discutée. Le chirurgien documente alors la gêne et code l’acte en chirurgie réparatrice. Si les critères médicaux sont remplis, l’assurance maladie peut rembourser une partie de l’opération, le reste dépendant de votre mutuelle et de votre contrat.
Tout est expliqué clairement lors de la consultation, sur la base d’un devis détaillé.
| PRESTATION | PRIX TTC* à partir de |
|---|---|
| Paupières supérieures (blépharoplastie x 2) | 2500 -3000 euros |
*Les prix de chirurgie esthétique sont donnés à titre indicatif et sont non contractuels.
La première consultation de chirurgie esthétique au cabinet dans le 16ème à Paris est au prix de 100 euros.
Qu’il s’agisse de toxine botulique ou d’acide hyaluronique, les injections ont un prix par séance. Individuellement, ce tarif semble souvent plus accessible que celui d’une intervention chirurgicale. Mais, renouvelées une à plusieurs fois par an, elles représentent un budget récurrent. Sur plusieurs années, leur coût peut dépasser celui d’une blépharoplastie supérieure, surtout si l’on combine plusieurs zones.
Il n’existe pas de “bon” choix universel : tout dépend de votre degré de gêne, de votre âge, de la vitesse d’évolution de la paupière tombante et de vos priorités financières. L’important est d’avoir une information claire, honnête, avec indication tarifaire des prix et explication des différentes options.
| PRESTATION | PRIX TTC* à partir de |
|---|---|
| Toxine botulique : sourcils | 400 euros |
*Les prix de medecine esthétique sont donnés à titre indicatif et sont non contractuels.
La première consultation de chirurgie esthétique au cabinet dans le 16ème à Paris est au prix de 100 euros.
Une consultation au cabinet du Docteur Djian à Paris permet de comparer en toute transparence le coût et les bénéfices de chaque acte médical ou chirurgical.
Comme tout acte médical, la blépharoplastie supérieure et les injections comportent des risques.
Pour la chirurgie, il s’agit notamment de
Ces risques restent limités lorsque l’intervention est pratiquée par un spécialiste qualifié, dans des conditions de sécurité optimales, avec un suivi post opératoire sérieux.
Les injections, qu’elles utilisent toxine botulique ou acide hyaluronique, peuvent provoquer
La prévention repose sur un examen médical préalable, une bonne compréhension de vos attentes, le respect des doses, et, pour l’acide hyaluronique, l’utilisation de produits adaptés au milieu facial.
Préparer votre intervention ou vos injections, respecter les instructions préopératoires et postopératoires, éviter certains médicaments fluidifiants avant le geste, prévenir le médecin de vos antécédents médicaux : tout cela contribue à votre sécurité.
Le choix d’un chirurgien ou d’un médecin expérimenté, comme au cabinet du Docteur Djian à Paris, reste un élément essentiel pour limiter les complications et assurer une amélioration harmonieuse de l’apparence de votre regard.
Entre blépharoplastie supérieure et injections du sourcil, la question n’est pas de savoir quelle technique est “meilleure”, mais laquelle répond à la cause réelle du regard fermé. Lorsque l’excès cutané et la lourdeur viennent de la paupière, la blépharoplastie supérieure apporte une solution durable. Quand le problème est positionnel, musculaire ou très léger, les injections offrent un réglage fin et réversible. Ce choix ne se résume pas à des photos avant/après de blépharoplastie ou à une préférence esthétique abstraite. Il dépend de votre anatomie, de votre manière de bouger votre visage, de votre tolérance aux suites postopératoires et de vos priorités à court et long terme.
Lorsque le vieillissement dépasse la zone palpébrale et touche l’ovale ou le cou, un lifting cervico-facial peut compléter la blépharoplastie supérieure pour restaurer l’harmonie du visage. Les techniques ne s’opposent pas : elles s’additionnent selon la zone réellement responsable de la gêne.
La consultation spécialisée sert à identifier précisément l’origine du problème, à cadrer les attentes et à définir un plan cohérent. Un chirurgien esthétique qui maîtrise à la fois la chirurgie palpébrale et la médecine esthétique du regard permet d’éviter les compromis bancals : trop d’injections pour compenser un excès cutané, ou une chirurgie isolée qui ne traite pas l’affaissement global. Le cabinet du Docteur Djian à Paris accompagne ce choix de manière pragmatique : traiter ce qui gêne, préserver le naturel et maintenir un regard en accord avec votre visage.
Oui, c’est tout à fait possible, et même souvent pertinent. Les injections permettent de tester un léger relèvement du sourcil et de voir comment vous vivez avec un regard un peu plus ouvert. Quand l’excès cutané devient trop important ou que les injections n’apportent plus assez d’amélioration, la blépharoplastie supérieure peut être envisagée pour un résultat plus durable.
En théorie, vous pouvez renouveler les injections de toxine botulique et d’acide hyaluronique tant qu’il n’existe pas de contre-indication médicale et que le résultat vous convient. Cependant, il est important de garder une approche raisonnable : les doses doivent rester adaptées, les intervalles de temps respectés, et votre visage doit conserver sa mobilité et son naturel. À long terme, si un véritable excès cutané apparaît, continuer uniquement les injections risque de devenir coûteux et moins efficace qu’une blépharoplastie supérieure bien réalisée. Une réévaluation régulière avec votre médecin ou votre chirurgien est donc essentielle.
La blépharoplastie supérieure n’interdit pas les injections ultérieures du front, de la glabelle ou de la région temporale. Au contraire, beaucoup de patientes associent ensuite une chirurgie stabilisée à de petites touches de médecine esthétique pour entretenir la fraîcheur du tiers supérieur du visage. Il faudra simplement adapter les doses et les points d’injection à votre nouvelle anatomie, afin de respecter la position obtenue du sourcil et de préserver un regard naturel.
Non, une blépharoplastie supérieure bien conduite ou des injections du sourcil bien dosées ne doivent pas vous transformer en une autre personne. L’objectif est de corriger un excès de peau, un affaissement ou un déséquilibre qui vous donnent un air fatigué, sévère ou triste, tout en respectant vos traits. Lors de la consultation, expliquez clairement ce que vous aimez déjà dans votre regard et ce que vous voulez préserver : cela aide le spécialiste à vous proposer un traitement qui vous ressemble et dont vous vous sentirez vraiment confortable.
Après une blépharoplastie, il est recommandé de dormir sur le dos, la tête surélevée avec deux oreillers pendant environ 7 à 10 jours afin de limiter l’œdème et le gonflement. Évitez de dormir sur le côté ou sur le ventre pour ne pas appuyer sur les paupières ni tirer sur les sutures. Ne frottez pas vos yeux, même en cas de démangeaisons. Si votre chirurgien l’autorise, vous pouvez appliquer du froid en journée, jamais directement sur la peau.
En cas de douleur inhabituelle, d’œil très rouge ou de baisse de vision, contactez immédiatement votre chirurgien.
Le Dr Jérémy Djian, est chirurgien esthétique, installé au 5 square Thiers, proche du rond point Victor Hugo, dans le 16ème arrondissement de Paris.
Il s’est formé à Paris et reste attaché à l’hôpital dans le prestigieux service du Pr Laurent Lantieri.
